Statue dans la basilique de san Jose de Flores
Jean-Paul II nous a donné son magnifique texte " Redemptoris Custos" sur saint Joseph et a fait de nous des missionnaires en nous emmenant dans le monde entier. Benoît XVI a publié son dernier écrit sur l'enfance de Jésus où il developpe longuement la figure de Joseph le Juste, dont il s'inspire clairement ( voir notre article ), et Josef Ratzinger fait de nous des théologiens, nous rendant une théologie fiable et accessible.
Le pape François, dans la même ligne, inaugure son Pontificat en la fête de Saint Joseph, et l'on attend avec impatience de le voir répandre dans le monde entier la grâce spécifique du patron de l'Eglise Universelle, Saint Joseph, protecteur tout particulier de ce pontificat. Y aura-t-il, après l'année de la Foi, une année Saint Joseph? Quoi qu'il en soit, ce pape François sera le Pape des Pauvres et de la Miséricorde, comme l'indiquent ses premières interventions!
Il a indiqué dans sa rencontre aux journalistes du Vatican le 16. 03. l'origine de son nom : lorsque les votes ont commencé à s'orienter vers lui, son ami le cardinal Hummes l'a consolé et lui a dit : " N'oublie jamais les pauvres", et c'est à ce moment-là qu'il a pensé au nom de François. Sa communication avec les journalistes, faite de profondeur théologique et de spontanéité est un moment extraordinaire, émaillée de " battutta", de plaisanteries, dont une à propos de la suppression de l'ordre des Jésuites...! Elle est accessible sur ce lien. Dans ce même discours aux médias, il a précisé combien leur rôle n'est pas politique.
Il est dommage que l'on voit chez les chrétiens cette peur constante qu'un " courant" l'ait emporté sur l'autre, peur créée de toutes pièces par la dialectique ambiante, cette attitude qui consiste à toutjours opposer pour polémiquer. De cette attitude naît pour les fidèles un piège dans lequel il est aisé de tomber : prendre parti, analyser le choix d'un pape comme une guerre fratricide entre cardinaux, et rater la grâce offerte par l'Esprit Saint dans la continuité des papes précédents. Là aussi, le pape n'est pas le résultat d'une herméneutique de la rupture mais de la continuité !
Continuons de confier le pape François à Saint Joseph, patron de l'Eglise Universelle!
Le pape François, dans la même ligne, inaugure son Pontificat en la fête de Saint Joseph, et l'on attend avec impatience de le voir répandre dans le monde entier la grâce spécifique du patron de l'Eglise Universelle, Saint Joseph, protecteur tout particulier de ce pontificat. Y aura-t-il, après l'année de la Foi, une année Saint Joseph? Quoi qu'il en soit, ce pape François sera le Pape des Pauvres et de la Miséricorde, comme l'indiquent ses premières interventions!
Il a indiqué dans sa rencontre aux journalistes du Vatican le 16. 03. l'origine de son nom : lorsque les votes ont commencé à s'orienter vers lui, son ami le cardinal Hummes l'a consolé et lui a dit : " N'oublie jamais les pauvres", et c'est à ce moment-là qu'il a pensé au nom de François. Sa communication avec les journalistes, faite de profondeur théologique et de spontanéité est un moment extraordinaire, émaillée de " battutta", de plaisanteries, dont une à propos de la suppression de l'ordre des Jésuites...! Elle est accessible sur ce lien. Dans ce même discours aux médias, il a précisé combien leur rôle n'est pas politique.
Il est dommage que l'on voit chez les chrétiens cette peur constante qu'un " courant" l'ait emporté sur l'autre, peur créée de toutes pièces par la dialectique ambiante, cette attitude qui consiste à toutjours opposer pour polémiquer. De cette attitude naît pour les fidèles un piège dans lequel il est aisé de tomber : prendre parti, analyser le choix d'un pape comme une guerre fratricide entre cardinaux, et rater la grâce offerte par l'Esprit Saint dans la continuité des papes précédents. Là aussi, le pape n'est pas le résultat d'une herméneutique de la rupture mais de la continuité !
Continuons de confier le pape François à Saint Joseph, patron de l'Eglise Universelle!