Pour un bon fonctionnement de toute cellule sociale ou ecclésiale.


 



Définition de la subsidiarité

Définition du Principe de Subsidiarité
Pour développer la confiance et l'efficacité dans les relations sociales : 
La subsidiarité est le caractère de ce qui est subsidiaire, c'est-à-dire de ce qui s'ajoute à l'élément principal pour le renforcer. 

En politique, le principe de subsidiarité est le principe selon lequel une responsabilité doit être prise par le plus petit niveau d'autorité publique compétent pour résoudre le problème. C'est donc, pour l'action publique, la recherche du niveau le plus pertinent et le plus proche des citoyens. 

Dans le fonctionnement de toute organisation sociale ( et ecclésiale), le principe de subisidiarité assure une délégation efficace et juste de l'autorité et l'application harmonieuse des décisions prises. 
 

Rédigé par admin le Mercredi 14 Décembre 2011 à 17:30 | Commentaires {0}

14) Perspectives de l'après-guerre à nos jours, conclusion de notre parcours sur les catholiques sociaux.


 

 



Observations.

ordinations illicites : schisme de Mgr Lefèbvre
ordinations illicites : schisme de Mgr Lefèbvre
Je n'ai pas de documentation sur cette période. Je me bornerai donc à formuler quelques hypothèses en faisant appel à ce que j'ai vécu et observé. 
Les catholiques de l'après-guerre ont des attitudes variées face au social. La guerre a politiquement divisé les catholiques de France en trois grands groupes : 
-ceux qui ont suivi jusqu'au bout le régime de Vichy. 
-ceux qui ont opté pour De Gaulle et...les autres, ( les plus nombreux!), qui ont cherché à survivre, sans trop prendre parti ou en se ralliant au camp des vainqueurs ( ce fut ma nette impression en revenant d'Alger en 1945). 

Mais la guerre a doctrinalement divisé les catholiques français en : 

-catholiques attirés ( voir fascinés) par le socialisme ( plus ou moins marxistes) et réticents vis-à-vis des analyses, consignes et conseils venant de Rome. 
-catholiques opposés au même socialo-marxisme. Ces derniers vont très vite se scinder en différents groupes après le Concile ( et son application en France). On trouvera : 

              -des intégristes ( plus ou moins durs) 
              -des fidèles à Rome ( des plus traditionnalistes aux plus " aggiornamentistes"). 
               -des " désorientés" ( qui s'en vont). 
               -des " ralliés" à ce qui leur semble la tendance majoritaire ( là où ils sont ?) 

Parmi les intégristes, on trouvera les divisions suivantes : 
                
            -des extrémistes ( qui souvent quitteront par nature même l'eglise catholique) 
                  -des fidèles à leurs vues mais qui restent dans l'Eglise. 
                  -des " désorientés" par les excès de leur " camp". 
                 -des " ralliés" à ce qui leur semble être la ligne officielle post-conciliaire.
 

Rédigé par admin le Mercredi 14 Décembre 2011 à 17:20 | Commentaires {0}

13) Les catholiques à la pointe du combat social : une bataille de longue haleine, face à une opposition farouche qui n'hésitait pas à saboter les projets pour ensuite les reprendre à son compte. Pour avoir une idée de cette histoire récente, voici un aperçu de cette période riche et tumultueuse.


 

 



Une force de propositions de lois contrecarrée et récupérée ?

Albert de Mun
Albert de Mun
Le nombre des propositions de lois émanant directement des catholiques comme précurseurs dans le domaine est impressionnant : 52, de 1871 à1922 ! Ces propositions sont faites au nom des catholiques sociaux par A.de Mun, Lecour Grandmaison, Mgr Freppel, l'abbé Lemire, Dausette, Ramel, Gaillard-Bancel, Lerolle,Roulleaux-Dugage, Patureau Mirand, de Castelnau...Si nous citons les noms, c'est qu'il y a un devoir de mémoire et de reconnaissance d'un travail qui porta de nombreux fruits dont bénéficie aujourd'hui la société française. Contrairement aux allégations des adversaires politiques de l'époque et surtout de l'époque suivante qui contribua à effacer la mémoire exacte de l'oeuvre entreprise, on ne peut attribuer à d'autres la plupart de ces initiatives malgré les tentatives de récupération de part et d'autre. 
 

 Se pose alors le problème des " droits d'auteurs" de loi en terme de lois sociales. Il est certain qu'il faut nuancer les propos car dans le domaine social, une idée d'amélioration fait aussi partie de l'air du temps et peut émerger de plusieurs lieux et origines plus ou moins en contact au même moment , les faits sociaux et leur analyse ainsi que les remèdes à porter n'appartenant pas à un seul bord à la fois. 
 

Par contre, l'analyse historique exacte ne peut passer sous silence des manoeuvres de récupération faciles à voir avec le recul de l'historien : proposition par un bord, refus et blocage parlementaire par un autre parti, puis reproposition et acceptation par ceux-là mêmes qui avaient bloqué le processus, le temps de s'approprier l'idée et de réaliser exactement ( mais en retard) ce qui avait été proposé et bloqué par esprit de parti. Le phénomène n'est pas nouveau! 
 

Rédigé par admin le Mercredi 14 Décembre 2011 à 17:16 | Commentaires {0}

12) L'action des catholiques sociaux en France : la CFTC et son essor.


 

 



Un essor impressionnant de 1919 à 1940.

Un fer de lance pour transformer la société, le syndicalisme chrétien.
Les régions catholiques de Flandre, Alsace, Biscaye, Mineurs du Nord, Isère, etc, voient un important essor de la CFTC qui se développe face aux attaques du patronat et de la CGT. Trois étapes seront importantes : 
-La grève d'Halluin ( 1928-1929) 
-Le plan de la CFTC ( 1936) 
-La représentativité ( 1936 à 1939) : une bataille difficile. 

Nous détaillons ici les événements de la grève d'Halluin qui permettent de comprendre le contexte de l'époque et l'enjeu du syndicalisme chrétien soutenu par l'Eglise en la personne d'un jeune évêque qui sut appliquer sur le terrain la Doctrine Sociale de l'Eglise, malgré son surnom "d'évêque rouge"! ( source : histoire de la ville d'Halluin )
 

Rédigé par admin le Mercredi 14 Décembre 2011 à 17:06 | Commentaires {0}

11) Profession, syndicats et économie, l'enjeu le plus important de cette époque...de quoi inspirer la nôtre aussi!


 

 



Création de syndicats mixtes : une tentative imparfaite mais innovante.

Pierre Waldeck-Rousseau
Pierre Waldeck-Rousseau
La loi Waldeck-Rousseau de 1884 institue le syndicat. Il est important de réaliser que c'est une avancée considérable, un siècle après la révolution française. Le champ nouveau qui s'ouvre est en réalité le " plus gros morceau" au regard de l'évolution des mentalités. Les chrétiens vont donc se lancer dans la création de syndicats, à commencer par les syndicats mixtes , c'est-à-dire des syndicats où collaborent patrons et ouvriers. 
 

 

Rédigé par admin le Mercredi 14 Décembre 2011 à 17:02 | Commentaires {0}

10) : Actions à l'extérieur de l'entreprise : l'éducation populaire, l'apprentissage, l'enseignement supérieur, l'enseignement ménager... Saisis d'une créativité impressionnante, les catholiques sociaux rejoignent tous les cercles de la société.


 

 


L'éducation populaire : le brassage des initiatives.

Paris, 3 avril 1873 - 28 mai 1950          Marc Sangnier a consacré sa vie et ses talents d'orateur et de journaliste à l'idée d'une démocratie fondée sur les forces morales et spirituelles de la foi chrétienne. Né dans une famille très pieuse de la grande bourgeoisie, il fait ses études à Paris, au collège Stanislas, tenu par les Marianistes, ouverts aux idées du catholicisme social prônées par le pape Léon XIII.  Déjà, il cherche à éveiller ses camarades à leurs devoirs  civiques et sociaux et collabore à la revue Le Sillon, fondée en 1894 par son ami Paul Renaudin. En 1899, Le Sillon se transforme en mouvement. Au sortir de l'École polytechnique, Sangnier renonce  une carrière d'officier pour en prendre la direction.            Cherchant à réconcilier le catholicisme avec le régime républicain, Le Sillon s'est fixé pour but de "travailler à développer les forces sociales du catholicisme dans la société contemporaine". "Les beaux temps du Sillon" se consacrent à l'éducation populaire ; "le plus grand Sillon" s'ouvre aussi à tous ceux qui croient aux valeurs spirituelles et humaines.  Entre 1899 et 1910, à une époque où les idées dominantes de la Troisième République sont mises en cause, où s'installe un climat de religiosité et où émergent des préoccupations sociales, Le Sillon va marquer son influence sur de larges franges de la population française.
Paris, 3 avril 1873 - 28 mai 1950 Marc Sangnier a consacré sa vie et ses talents d'orateur et de journaliste à l'idée d'une démocratie fondée sur les forces morales et spirituelles de la foi chrétienne. Né dans une famille très pieuse de la grande bourgeoisie, il fait ses études à Paris, au collège Stanislas, tenu par les Marianistes, ouverts aux idées du catholicisme social prônées par le pape Léon XIII. Déjà, il cherche à éveiller ses camarades à leurs devoirs civiques et sociaux et collabore à la revue Le Sillon, fondée en 1894 par son ami Paul Renaudin. En 1899, Le Sillon se transforme en mouvement. Au sortir de l'École polytechnique, Sangnier renonce une carrière d'officier pour en prendre la direction. Cherchant à réconcilier le catholicisme avec le régime républicain, Le Sillon s'est fixé pour but de "travailler à développer les forces sociales du catholicisme dans la société contemporaine". "Les beaux temps du Sillon" se consacrent à l'éducation populaire ; "le plus grand Sillon" s'ouvre aussi à tous ceux qui croient aux valeurs spirituelles et humaines. Entre 1899 et 1910, à une époque où les idées dominantes de la Troisième République sont mises en cause, où s'installe un climat de religiosité et où émergent des préoccupations sociales, Le Sillon va marquer son influence sur de larges franges de la population française.

  

A : 1899 : le cercle d'études du Sillon. 
  
Mais qu'est-ce qu'un cercle d'étude ? passons par une autre culture, la culture suédoise, dans ce pays, l'éducation populaire ( Folkbildning) possède...350 000 cercles d'études, selon le Conseil Suédois d'éducation populaire. Les cercles existent depuis un bon siècle. En France, ils furent très actifs. Le premier fut celui du mouvement Le Sillon,  de Marc Sangnier, association catholique dont l'histoire est représentative d'un pan des catholiques sociaux tentés par la politisation, ce qui valut au Sillon d'être dissous par la hiérarchie. Mais le principe de base mérite un détour par l'histoire afin de ne pas définitivement jeter le bébé avec l'eau du bain. 

Marc Sangnier, tout comme Léon Harmel, constate la disparité et l'inégalité entre les classes sociales. Le domaine de l'éducation populaire ( aujourd'hui, nous dirions de la culture au sens où il existe un conseil pontifical pour la Culture) est un vaste champ d'évangélisation, mais pour Marc Sangnier, il doit s'agir d'une éducation mutuelle. Par le cercle d'étude du Sillon, Marc Sangnier s'oppose à une éducation paternaliste qui se fait sans l'ouvrier. Il entrevoit la richesse de l'éducation des pairs  par les pairs. Un membre du cercle expose un sujet aux autres. On parle de tous les sujets, question sociale en priorité, mais aussi échange d'idées, de connaissances. On voit facilement le risque d'utilisation politique du cercle d'étude, mais aussi à notre époque son développement possible en matière culturelle, grâce aux innovations techniques d'internet et des visio-conférences : on assiste à l'émergeance des descendants des cercles d'études : co-expertise, forums internets internationaux, échanges de recherches et de documents...l'enjeu restant l'immense domaine de la culture, lieu d'éducation populaire par excellence. 

 

Rédigé par admin le Mercredi 14 Décembre 2011 à 16:42 | Commentaires {0}

9) : actions dans l'entreprise en direction du monde ouvrier, Léon Harmel : paternel de tempérament, certes, mais non-paternaliste dans son action sociale, il promeut l'émancipation de l'ouvrier, et non pas son infantilisation.


 

 



Dans l'entreprise elle-même : Léon Harmel, un pionnier de l'action sociale en entreprise visant l'autonomie des ouvriers dans ce domaine. (1829-1915)

Léon Harmel, un entrepreneur catholique social
Léon Harmel, un entrepreneur catholique social

  

Le père de Léon Harmel, Jacques-Joseph Harmel, a déjà créé une filature du val du Bois, une caisse des économies ( 1842), une caisse de secours ( 1846), une société musicale (1848). L'atmosphère est donc familiale, mais non-paternaliste, ce qui fait la spécificité de la maison Harmel. C'est une " corporation chrétienne, une association religieuse etéconomique avec conseil d'usine et oeuvres sociales, où collaborent ouvriers et patrons.  

" Le bien de l'ouvrier, avec l'ouvrier, par l'ouvrier, jamais sans lui et à plus forte raison, jamais malgré lui." Léon Harmel entrevoit l'erreur du paternalisme et devance bien des catholiques chez lesquels la confusion du genre familial avec le genre utopiste empêche ou retarde une doctrine sociale adaptée au monde professionnel. Très en avance, Léon Harmel a souvent contre lui le monde patronal y compris catholique. Chez lui, tout est basé sur la solidarité, la réciprocité et la confiance. Cependant, il n'échappe pas, sur d'autres points, à son époque : en témoigne la demeure familiale, " trônant" à l'entrée de l'usine, évoquant le rassemblement autour du patron et de la foi. 

 

Rédigé par admin le Mercredi 14 Décembre 2011 à 16:37 | Commentaires {0}

8) : Le champ d'action du monde de la santé. De l'oeuvre de la Goutte de Lait avec son humble fondateur, en passant par les premières écoles d'infirmières, les accueils de prostituées, la lutte contre l'alcool, l'exclusion, et même le sport...le travail n'a jamais manqué, mais qu'avons-nous inventé ? Peu à peu, l'évolution des oeuvres montre une spécificité : l'aide doit éviter l'assistanat pour redonner dignité et autonomie.


 

 


L'oeuvre de Léonie Chaptal. ( 1873-1937), Marie de Liron D'Airoles.

Léonie Chaptal
Léonie Chaptal
Léonie Chaptal commence en 1893 à l'âge de 20 ans. En 1900, elle ouvre un dispensaire anti-tuberculeux. Puis en 1901, assistance maternelle, 1905, école d'infirmière, 1907, lutte contre l'alcoolisme, 1911, hôpital privé neurochirurgical... 

Juste avant la guerre, elle collabore à l'élaboration d'une loi sur la santé. après la première guerre mondiale, elle s'occupera du soin des malades non pensionnés. En 192, elle est au conseil supérieur de l'assistance publique et veille au diplôme d'état des infirmières, après avoir combattu pour une formation adéquate, en particulier dans le domaine des sanatoriums. En 1926, elle est déléguée à la SDN pour la Protection de l'Enfance.  

Son oeuvre multiforme de perpétue aujourd'hui dans la fondation Léonie Chaptal. Catholique convaincue, elle ouvre l'association qu'elle a fondée aux protestantes et aux non-confessionnelles, visant surtout à unifier le monde des infirmières ayant le diplôme d'état. ( cf Les Catholiques dans la République, de Bruno Duriez, Aux Editions de l'Atelier, p 136 et suivantes) 

L'oeuvre de Léonie Chaptal croise celle d'autres femmes catholiques aussi engagées qu'elle dans le monde des infirmières et de l'assistance sociale. En particulier, elle sera tout à tour en collaboration et divergence de point de vue avec Marie de Liron d'Airoles, une autre femme catholique d'envergure qui créa l'UCSS ( Union catholique des services sociaux et de santé ) en 1922. 

 
Rédigé par admin le Mercredi 14 Décembre 2011 à 16:33 | Commentaires {0}

7) : une contribution essentielle à l'action familiale dont les catholiques sociaux d'aujourd'hui peuvent encore s'inspirer!


 

 



Les précurseurs des allocations familiales.

Léon Harmel
Léon Harmel



En 1891, Léon Harmel   instaure dans son usine de Val des Bois " le sursalaire familiale d'entreprise". Il s'agit d'une caisse familiale d'entreprise, gérée par une commission ouvrière. Léon Harmel était proche de Léon XIII, et avait emmené en pélerinage à Rome auprès du Pape plus de 10 000 ouvriers catholiques, l'année précédant la publication de Rerum Novarum. Son évolution de l'utopie d'une cité chrétienne vers l'action politique des catholiques sociaux lui permit d'expérimenter sur le terrain des caisses gérées par les ouvriers, et une sorte de " familiarisme" plutôt que le paternalisme de l'époque : il tenait surtout à ce que les ouvriers soient considérés par le patronat comme des interlocuteurs d'égal à égal. C'est pour cela qu'il leur remit la gestion des oeuvres sociales les concernant, les interessant à leur propre sort dans l'application concrète de la Doctrine sociale de l'Eglise. 

Rédigé par admin le Mercredi 14 Décembre 2011 à 16:00 | Commentaires {0}

6) L'épanouissement. 1870-1940.


 

 



Caractère général de la période : le Ralliement.

Le cardinal Lavigerie
Le cardinal Lavigerie
Il s'agit d'une période où globalement la France va être gouvernée plus souvent par des ennemis de l'Eglise que par des amis ou des gouvernements impartiaux. La franc-maçonnerie est introduite dans les milieux dirigeants. La République est bien installée ( la 3eme république), le pape Léon XIII conseillera aux catholiques le " Ralliement  ": ce ralliement de 1892 avait été préparé par une déclaration du cardinal Lavigerie,  archevêque d'Alger, recevant des officiers français le 12 novembre 1890 (« Toast d'Alger »): 

« Quand la volonté d'un peuple s'est nettement affirmée, que la forme d'un gouvernement n'a rien de contraire, comme le proclamait dernièrement Léon XIII, aux principes qui peuvent faire vivre les nations chrétiennes et civilisées, lorsqu'il faut, pour arracher son pays aux abîmes qui le menacent, l'adhésion sans arrière-pensée à cette forme de gouvernement, le moment vient de sacrifier tout ce que la conscience et l'honneur permettent, ordonnent à chacun de sacrifier pour l'amour de la patrie. […] C'est ce que j'enseigne autour de moi, c'est ce que je souhaite de voir imiter en France par tout notre clergé, et en parlant ainsi, je suis certain de n'être démenti par aucune voix autorisée. »

Rédigé par admin le Mercredi 14 Décembre 2011 à 15:46 | Commentaires {0}

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Anne Céline Denis
Bienvenue sur le blog du Père Yannik Bonnet, polytechnicien, DRH de Rhône-Poulenc, Directeur d'une école d'ingénieurs, veuf, père de 7 enfants, écrivain, prêtre. Le but de ce blog est de donner une formation chrétienne de qualité. N'hésitez pas à formuler questions et remarques dans les commentaires.


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